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Welcome in my labyrinth, 2019-2020

Christian_Tangre,_Où_est_la_bête,_juille

Où est la bête ?

juillet 2019

papier de soie et posca sur papier

130 x 150 cm

le_rêve_du_montreur_d'ours_2019_115_x_15

Le rêve du montreur d'ours

2019

115 x 158 cm

Christian Tangre, vue d'exposition AF de
Christian Tangre Welcom in my labyrinth

Welcome in my labyrinth

mural pour Chisinau

2019

gros plan

vue d'exposition Alliance française de Chisinau

avril 2019

christian Tangre Welcome in my labyrinth

Welcome in my labyrinth 2

juillet 2019

115 x 158 cm

La peinture 2019, 20 x 15 cm.jpg

La peinture

2019

20 x 15 cm

Un narcisse 2019, 20 x 15 cm.jpg

Un narcisse

2019

20 x 15 cm

Le trou 2019, 20 x 15 cm.jpg

Le trou

2019

20 x 15 cm

Le faiseur de lune 2019, 20x15 cm.jpg
Signaux, 2019, 20 x 15 cm.jpg

Signaux

2019

20 x 15 cm

Le faiseur de lune

2019

20x15 cm

La conversation 2020 80 x 115 cm.jpg

La conversation

2020

80 x 115 cm

Le défi de transporter une œuvre dans une valise ou une boîte a déjà été bien exploité mais les contraintes douanières d’une exposition en Moldavie rendaient l’exercice nécessaire. L’idée de fragmenter puis de recomposer in situ a été l’occasion de revisiter toute mon iconographie de ces dernières années, constituée de sources diverses: esquisses de formes et de personnages accumulées dans les carnets d’atelier, fragments de dessins ou de peintures aboutis, détails d’œuvres ou d’objets photographiés lors de visites de musées... Ce qui fait la matrice de mon travail pictural s’est retrouvé décomposé en un ensemble de petits dessins au Posca ou de découpages sur papier de soie mais aussi d’impressions numériques ou de fusain sur calque. Si le papier de soie et le calque offraient leur transparence à la réinterprétation des images, ils étaient des supports légers faciles à agencer et à coller avec de la pâte collante. C’est ainsi que j’ai pu transporter deux cent cinquante petits dessins et découpages dans une boîte A4 et réaliser une grande composition directement dans le lieu d’exposition. Spectacle intrigant garanti pour les passants.


Au final je me suis pris au jeu de réactiver en atelier ce projet au départ éphémère mais dans lequel j’ai trouvé une sorte de renouvellement plastique et graphique de mon travail.

Dessins au Posca et collages de papiers de soie sur papier blanc

The challenge of carrying a work in a suitcase or a box has already been quite exploited, but the customs constraints of an exhibition in Moldavia made the exercise necessary. The idea of splitting up then reconstructing in situ was the occasion of revisiting all my last years’ iconography made from diverse sources : shape and figure sketches accumulated in studio books, pieces of completed drawings or paintings, details of photographed works or objects during museum visits… What makes the matrix of my pictorial work ended up broken up into a set of Posca small drawings or into tissue paper cut-outs, but also into digital prints or charcoal on tracing paper. If tissue and tracing papers offered their transparency to the reinterpretation of the pictures, they were light media, easy to organize and stick with gluing paste. That’s how I have been able to carry two hundred and fifty small drawings and cut-outs in an A4 box and to create a big composition directly in the exhibition space. A show for sure for the passers-by.


In the end, I got caught up in the game of reviving in my studio this project at first short-lived but through which I have found a kind of plastic and graphic revival of my work.

Posca drawings and tissue paper collages on white paper

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